UNIÃO EUROPEIA , PRÉMIO NOBEL DA PAZ
Trois et deux font cinq. Cinq et sept douze. Douze et trois quinze.(…) Ouf ! Ça fait donc cinq cent un millions six cent
(…) Cinq cent millions de quoi ?
(…) Cinq cent un millions de…je ne sais plus.
(…) Et à quoi cela te sert-il ?
(…) Ça me sert à être riche.
(…) Le petit prince avait (…) des idées très différentes des idées des grandes personnes.
Quelle drôle de planète ! (…) et les hommes manquent d’imagination.
(…) Tu n’es pas d’ici ? (…) que cherches-tu ?
Je cherche les hommes.
(…) Les hommes (…) ils ont des fusils et ils chassent.
Non (…)je cherche des amis.
(…)ah ! les hommes n´ont plus le temps de rien connaître.
Vous n’ êtes pas du tout semblable à ma rose. On ne peut pas mourir pour vous. (…) ma rose à moi est plus importante (…) puisque c´est elle que j´ai arrosée. Puisque c´est ma rose. L´essentiel est invisible pour les yeux.
C´est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
Les hommes ont oublié cette vérité (…) et tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé.
C´est là un bien grand mystère.
Le petit prince enferme ça fleur toutes les nuits sous son globe de verre (…) et toutes les étoiles rient doucement.
Tu sais…ma fleur…j´en suis responsable !
Eu também sou responsável por escutar as estrelas. As estrelas do céu ou de uma bandeira. E que se não esqueça o quanto trabalhar para a esperança é tão necessário como a água que se dá à rosa que é parte do mundo.
Teresa Vieira